Manichéisme macronien

François Cocq

Chronique du 20 avril publiée dans L’Heure du peuple
La campagne pour les élections européennes s’engage décidément sur des bases bien malsaines. S’exprimant devant le Parlement européen le 17 avril, on s’attendait à ce que le Président de la République assume et approfondisse le concept de souveraineté européenne dont il a décidé de faire son cheval de bataille pour les élections européennes à venir. Au lieu de cela, M. Macron a livré une vision caricaturale et manichéenne de l’Europe pour mieux étouffer tout débat à venir et tenter d’imposer par la coercition la pensée unique bruxelloise.

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Pot-pourri

François Cocq

Depuis le début de la semaine, M. Macron lançait des balles. « Allez, va chercher la baballe laïcité » disait-il aux uns ; « Allez, va chercher la baballe Notre-Dame-des-landes » enjoignait-il aux autres. Et de fait, il fallait bien aller chercher, car les atteintes portées à la séparation des églises et de l’Etat devant les évêques aux Bernardins, ou l’envoi de la troupe dans le bocage se plaçaient à un tel niveau de violence, physique ou symbolique, qu’elles n’auraient pu souffrir la passivité.

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SNCF : Macron et Philippe émissaires coloniaux de Bruxelles

François Cocq

Pour celles et ceux qui ne l’auraient pas vu, je publie régulièrement des présentations de mon livre « Alerte à la souveraineté européenne ! La chimère de Macron contre la souveraineté populaire », déclinés en chapitres (à retrouver ici).

Mais il s’avère que le chapitre dont je dois vous parler aujourd’hui résonne particulièrement avec l’actualité à l’heure où MM. Macron et Philippe se comportent avec leur réforme de la SNCF en émissaires coloniaux du pouvoir de Bruxelles.  Rapide retour sur l’historique en vidéo ci-dessous.

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